La chaleur, un tremplin pour la cruauté chez les harceleurs oisifs
Vous travaillez toute une matinée sous une chaleur difficilement supportable, et enfin rentrée chez vous, des tics tics tics se font entendre au moment même où vous osez vous rafraichir un peu dans votre salle d'eau, aspirant qu'à un peu de tranquillité. Vous venez de déranger une femelle du cheptel familial vautrée dans son pus bourgeois. Vous réagissez en laissant tourner le magneto relatant vos misères. Ensuite, c'est l'acharnement toute l'après-midi sous les tirs d'ondes, sans même possibilité de vous assoupir, en soirée même traitement, et une bonne partie de la nuit. Telle règne la gentille famille au-dessus de ma tête.
Première hypothèse à ces attaques extrêmement violentes : Des branches de la famille sont là pour les vacances, elles veulent pouvoir profiter des festivités consistant à me torturer. Je suis bien mieux que leur console.
Deuxième hypothèse : Les propriétaires sont en vacances, des pions (milice familiale) sont là pour aussi profiter de l'opportunité d'être au paroxysme de la lâcheté. Il faut reconnaître que ce n'est pas donné à tout le monde.
Troisième hypothèse : La famille se sert de la chaleur pour tenter au mieux de m'envoyer à l'hosto, histoire de passer l'été tranquille, et que le bruit de l'eau qui coule dans mon lavabo quand je me lave n'entrave pas leur confort petit-bourgeois.
Quatrième hypothèse : Le troupeau de persécuteurs sait que je viens une nouvelle fois de contacter la DGSI. Le harceleur en chef, gonflé de testostérone estivale, veut me faire savoir qu'il n'en a rien à faire, et qu'il s'en fout royalement.
Cinquième hypothèse : Les enfants, nombreux, sont TOUS là pour les vacances, formidable main-d'oeuvre à bas coût, qui pourrait expliquer les hostilités sonores, goélands, et autres tic tic tic très scolaires, pour me miner. Bref, les petits s'amusent. Ils TUENT mais ils s'amusent avec les adultes sans doute en plein exercice d'admiration devant leur progéniture.
Sixième hypothèse : La propriétaire s'est cassé un ongle en m'envoyant une décharge, du coup, je prend double.
Ça fait beaucoup d'hypothèses, mais chacune d'entre elle peut être valable, suivant le moment, les humeurs, les circonstances, et le nombre des harceleurs en faction.
Voilà pour hier. Cela fait exactement sept ans et deux jours que je me fais torturer à cet endroit.
Avis à la DGSI. Je vous ai donné l'adresse de ce blog lors d'un précédent envoi. Ce que je décris ici ne peut pas s'inventer. Cela dépasse l'entendement humain. Si rien n'est fait pour m'aider mes voisins vont me tuer. Merci de me contacter.
Au moment où j'écris beaucoup de coups dans le ventre mais cela ne m'empêchera pas de continuer.