Ce qui me tient debout (la suite)
Les azimutés qui se trouvent au-dessus de ma tête sont persuadés de leur immunité. Ils croient que mes requêtes à la DGSI n'aboutiront jamais, et se gaussent bien de mes courriers.
Il est vrai que normalement, le citoyen lambda a peu de chance d'être reçu par quelqu'un des renseignements. Il y a la police pour tout danger à l'intégrité d'une personne. Sauf que là j'ai quelque chose de mon côté. RIEN strictement RIEN de ce que je vis n'est normal et/ou ordinaire. Cela devra suffire. Sinon, j'irai sur place. Après tout c'est une question de vie ou de mort. Je le ferai.
Avant-hier, jeudi, j'ai eu la chance de ne pas travailler l'après-midi, et il est fort possible qu'il y ait eu contretemps pour les harceleurs, ce qui n'aura pas arrangé ma nuit. Si c'est le cas, j'en suis fort aise. Le calvaire de la nuit a au moins eu cette vertu de me faire aller une nouvelle fois à la Poste pour envoyer le recommandé ci-dessous. C'est toujours difficile de devoir contacter un organisme tel que celui-ci, mais je n'ai pas le choix. J'ai le droit d'essayer de sauver ma peau, et je veux pouvoir me dire par la suite que j'aurais TOUT tenté, quoi qu'il arrive.
Aussi, les cris de goélands, ce matin samedi à 7 h, étaient tellement grossiers que j'en aurais presque ri si ma situation n'était pas aussi tragique. Il semblerait que la crétinerie qui règne au-dessus de ma tête ne s'embarrasse plus pour ce qui est de peaufiner les hostilités. Tant mieux, cela me donne de l'assurance pour la suite. JAMAIS des professionnels ne s'adonneraient à des hostilités aussi grossières. Je persiste donc à penser que le matériel qui se trouve entre les mains de la famille au-dessus de ma tête, n'a rien à y faire. C'est une erreur de parcours, une lamentable fuite...
Maintenant, je vais camper...