Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Visiteurs
Depuis la création 102 462
                                                                            
Traducteur

Targpixel 2

logo torture à distance

Derniers commentaires
Archives
29 mars 2021

À l'attention de Stef, chefaillon de la torture high-tech

     La nuit dernière a malheureusement conforté le sens de mon commentaire laissé avant d'aller me coucher. J'ai toutefois oublié de mentionner un point important parmi toutes ces raisons non viables qui laissaient augurer une mauvaise nuit. Papa high-tech, sadique à ses heures perdues qui sont nombreuses, ne travaille pas le lundi. Voilà qui suffit amplement à mon calvaire, avec bien sûr, dans sa tête de gentil papa détraqué, l'impression de sauver ses enfants d'une femme seule qui s'obstine à continuer de respirer sous leurs pieds, malgré toutes les tentatives par le cheptel familial pour l'éliminer.

     Ce dimanche 28/o3, je me suis absentée toute la journée. Levée tôt, j'aurais pu également penser que j'avais réveillé les harceleurs, mais que nenni. En sortant, oh surprise ! Papa gâteau était sur son balcon, le téléphone vissé sur l'oreille, faisant semblant d'appeler on ne sait qui pour se donner une constance en cette heure si matinale un dimanche matin. D'ailleurs, on se demande bien pourquoi cela semble pour lui d'une absolue nécessité de se sentir occupé quand il rentre dans mon champ de vision. Il n'avait pas dû beaucoup dormir, dans le sens où ma nuit de samedi à dimanche avait déjà été difficile. J'enchainais donc ma ballade criminelle, à la mer, fatiguée (déjà) mais heureuse de m'éloigner du chefaillon et sa clique familiale.

     Le soir en rentrant, je laissais mon commentaire mentionnant le week-end peau de vache, avant d'aller me coucher, et je dois bien admettre que j'ai pu fermer l'oeil jusqu'à minuit et demie, l'heure fatidique pour le bobobounty de me réveiller, et d'enchainer les tirs d'ondes électromagnétiques jusqu'au petit matin. De plus, il y avait le changement d'heure, lequel m'a toujours promis des nuits mémorables. Une raison de plus. Je n'avais aucune chance d'y échapper, et je le savais.

    Toi aussi tu le savais Stef, je peux t'appeler Stef, on se connait bien maintenant. Tu étais bien placé pour savoir que ma nuit de samedi à dimanche avait été difficile, que j'avais perdu 1 heure de sommeil comme tout le monde mais bien plus encore que tout le monde, tu savais que j'étais partie toute la journée et que je serais donc d'autant plus fatiguée ce dimanche soir. C'était là un moment idyllique pour une sainte crasse comme toi, de veiller avec un peu plus d'assiduité à ma maltraitance.

   Dans le bus ce lundi, comme par un fait exprès je tombe nez à nez avec ce slogan placardé sur une vitre. C'était à se pâmer de rire. Ne t'inquiètes pas Stef, félicite-toi, la journée pour moi a été rude. Prends ton pied mon salaud, exulte en compagnie de TaBlonde toutes ouïïïes ouvertes à ce crétin qui se prend pour Dieu.

IMG_0124

     Le plus difficile, pour moi, vois-tu, c'est de te savoir te reposer pendant que je trime sous le joug d'un épuisement certain, lequel ne me laissera bientôt plus aucune chance avec les six années que je viens de passer. C'est ce qui m'a fait sauter le pas comme on dit, et c'est pour cela que cette énième nuit quasi-blanche n'a pas le même goût que les précédentes. Je suis sereine, c'est la nouveauté. Je sais que tout ce que tu m'as fait subir et que je subirais encore par tes soins connaitra une justice, la forme ne sera pas vraiment académique, mais imagine un peu mon soulagement !

   Avant que tu ne finisses le travail, je sais que je vais encore connaître de longues périodes de souffrance sous les tirs d'ondes pulsées par tes soins et ceux de ta clique, que toi, en revanche, tu vas encore connaître des moments de jouissances décuplées avec ta blonde dans l'exercice de ma torture.

    J'avais donc besoin d'une certitude avant que tu termines le travail, et un plan B n'aurait pas suffit à rassurer ma nature inquiète. Tu n'imagines même pas Stef, tout ce que j'ai dû avaler comme inepties, et rencontrer comme salopards dans le royaume du mal pour enfin trouver la solution magique ! Sans compter les heures et les heures de documentaires, d'histoires alambiquées de meurtres, de vengeances, d'enquêtes en tous genre, ma migration dans le dark web, mon cotoiement avec le pire pour parvenir enfin à résoudre ce noeud gordien. JE PEUX PARTIR EN PAIX !

    Pour être sûre que la vie ne continue pas son long fleuve tranquille au-dessus de ma tête quand toi et toute ta petite famille m'auront assassinée, cela nécessitait de prendre des dispositions d'un ordre supérieur, et irréversibles dans la mesure du possible. Des nuits comme celles qui viennent de passer aident grandement à ce genre de décision. Ne t'inquiètes pas, Stef, je bluffe. Je pourrais bien te dire que ta photo et tes coordonnées se trouvent depuis un petit moment dans une périphérie moscovite, entre les mains d'êtres plus périphériques qu'humains, mais ce ne serait pas sérieux, et je suis si peu convaincante !

    Sache néanmoins que si tu arrives à ton but, j'arrive forcément aussi au mien dans le sens où mon élimination est la condition sine qua non au bon fonctionnement de ces dispositions prises dans un ultime sursaut justicier. Il serait faux de dire que je suis en paix dans la forme car je souffre trop, mais dans le fond c'est le cas, je maintiens. Le soulagement est intense. Malgré mon amour pour la vie, j'aurais presqu'envie d'en finir vite pour que la machinerie s'ébroue, mais je vais attendre que tu t'en charges. Jouer les petits poucet et semer des indices sur tout support de ma torture était trop aléatoire. Rien ne me faisait plus peur que de partir en te sachant poursuivre ta foutue vie avec un capital sympathie intact.

     Tu vas me survivre pour longtemps Stef, mais tu seras mortifié. Je ne serais plus depuis belle lurette que tu continueras à te maudire de ce que tu auras généré. Tu auras épuisé jusqu'à la dernière goutte de larme que tout être humain possède. Tes yeux seront arides et aussi brûlants que ton chagrin. J'espère que tu vas vivre vieux, que tu aies le temps de ruminer, de te refaire le film, sans cesse, jusqu'au bout de ta triste vie.

Publicité
Publicité
Commentaires
V
T con! 🙂
Répondre
Publicité