La minute de la haine à 3 h 30

    Les deux dernières nuits ont été difficiles. A 3 h30 ce matin, le réveil a été douloureux étant donné que je n'avais quasiment pas dormi la nuit précédente. Quand je suis réveillée par un tir d'ondes alors que je suis épuisée, les harceleurs se sont sans doute aperçus que j'avais tendance à me ré-endormir assez vite. Le but pour eux est alors d'être au taquet afin que chaque basculement vers le sommeil génère un nouveau tir, pas forcément violent, juste ce qu'il faut pour que je sois dans l'incapacité de plonger de nouveau dans le repos. Une véritable torture. Quand je suis totalement réveillée, il me faut attendre pour attrapper ce fameux prochain "wagon" du sommeil, souvent pas loin de 2 heures avant de saisir à nouveau cette fenêtre tant quêtée. Avec mes détraqués de voisins et leur matériel c'est impossible. Je me traine difficilement jusqu'à 6 h du matin, en compagnie de la radio, mais je ne peux glâner au bout du compte que des fragments de repos qui ne suffiront pas à me faire sentir à peu près en forme. Si tant est que je puisse l'être encore avec l'année que je viens de passer.

      Qui était aux commandes cette nuit ? Qui est au-dessus de ma tête en ce moment ? Y at-il eu un relai familial ? Difficile à savoir.

     Comme beaucoup de personnes ciblées par harcèlement électromagnétique, le week-end ne m'épargne pas des attaques, en raison sans doute du quota plus élévé d'individus disponibles pour m'agresser, chacun étant toujours aussi pressé d'utiliser le matériel high-tech permettant de s'exciter à loisir sur la personne démunie que je suis. Six ans de tortures et un cancer au bout de la route, n'auront sans doute pas suffit à la la famille de détraqués qui me persécute pour satisfaire leur appétit sadique. Je réussis tant que bien que mal à récupérer un peu de sommeil entre deux décharges sur le petit matin, mais cela fonctionnne dans le sens où je suis toujours en arrêt de travail.

     L'idée de reprendre ce dernier me terrifie. Devoir subir à nouveau des nuits blanches tout en devant aller travailler le lendemain me semble insurmontable. Je l'ai fait pendant six ans. Cela m'a menée tout droit à l'hôpital. Comment faire ? Il n'y a pas d'issue. Résister a ses limites. Il est pourtant nécessaire de tenir le plus longtemps possible afin d'espérer parvenir à une reconnaissance de ce type de persécution avant qu'il ne soit trop tard.

     Je rappelle que mes voisins semblent à mille lieues, en apparence, de s'adonner à ce style de torture, mais c'est la réalité. Ils ont en leur possession un matériel qu'ils n'auraient non seulement jamais dû avoir, mais ni même soupçonné l'existence. Comment se le sont-ils procuré ? Dans quel but ? Que leur ai-je fait ? Comment peuvent-ils faire participer leurs enfants ? Comment toute un famille peut-elle ne même pas sourciller face à ce lent assassinat silencieux sur ma personne ? Autant de questions qui n'ont aujourd'hui pour réponse que des hypothèses.

     Complément à la dernière vidéo que j'avais publié sur ce blog, concernant le harcèlement électronique de M. Wang en Chine. Vidéo envoyée sur le blog de Lez

      M. Wang était victime de V2K (Voice to Skull) Voix dans le crâne, technique bien connue des harceleurs et possible grâce au matériel montré sur la vidéo. Me concernant, je n'ai pas la V2K mais il est fort propable que le matériel qui sert à ma persécution et à celle de beaucoup d'autres soit du même ordre que celui utilisé contre M. Wang.