Harceleurs mobilisés à la nanoseconde
Histoire de ne pas me faire crever trop rapidement, les harceleurs avaient relâchés la pression ces derniers jours, ajouté à cela, l'apparente absence de Monseignôre en chef, peut-être parti traîner sa carcasse sous d'autres cieux, sa haine en bandoulière et sa médiocrité éternelle. Reste à savoir combien de temps va durer son sevrage avant de revenir à la charge.
Bien sûr, en l'absence des seigneurs - Pour rappel, je suis harcelée 24h/24h-7j/7j à partir du moment où je suis chez moi, et je doute que la présence des propriétaires soit permanente - l'intendance était en place mais de manière modérée, jusqu'à la nuit dernière, où les mains ont commencé à démanger le, la, pion de service. Hier, en début d'après-midi déjà, un milicien de la famille s'était arrangé pour être présent avant mon départ pour le travail. La nuit dernière, c'était donc décharges au menu, avec des ondes engourdissantes pour ma pauvre tête, et distribuées généreusement jusqu'au petit matin, par le, la dégénéré(e) du moment. Bien sûr, les hostilités sonores, perpetrées à la nanoseconde près, sont toujours omniprésentes dans la journée, au cas où j'oublierais ce dont je fais l'objet.
Manifestation à Tokyo d'individus ciblés, victimes de harcèlement électromagnétique.
C'était le 29 août 2018. (source facebook).