Hey Steph & Cies !

27 août 2023

Je vais essayer de résumer comment toi et ta clique vous y êtes pris pour commettre le crime parfait envers votre voisine, moi-même. Assassinat non abouti pour le moment mais tentative toujours en cours. J'espère que vous me pardonnerez les approximations et/ou erreurs que je suis susceptible de commettre en raison de l'absence d'un dispositif me permettant les mêmes horreurs que vous sur moi, en l'occurrence, torture et viol à distance pour l'essentiel.

Fin 2014, en bon voisin détraqué, tu as fait installer par un tiers à peu près aussi salope que toi, le petit matos permettant de m'envoyer des ondes à distance, parce que toi tu ne savais pas faire. Comme ton pote ne t'as pas fourni le mode d'emploi avec l'appareil, toi et ta clique l'avez utilisé comme de gros bourrins en appuyant avec vos gros doigts gourds sur toutes les touches, (pour symboliser la chose). Mes multiples vols planés sur le lit ont signifiés sous vos crânes véreux une réussite pour le coup exemplaire du bon fonctionnement du matériel.

Aussi, la possibilité de me faire relever jusqu'à 50 fois par nuit en me provoquant l'envie d'uriner à validé votre entrée dans la catégorie des nazillons et autres bourreaux que l'histoire humaine ordinaire sait si bien produire, et digne de ce nom.

Détenir ce pouvoir de faire bouger un corps à distance rend très rapidement addict à l'exercice, et apprécier les conséquences planqués derrière un mur sans être inquiété par qui que soit vous a ouvert les vannes de la torture High-Tech avec un appétit allant crescendo pour tout un troupeau de citoyens ordinaires, au-dessus de tout soupçon.

Ensuite, tu es parti Steph, avec femme et enfant à 9500 kms de là pendant plusieurs mois, laissant l'appart à la jouissance de la famille et autres nombreux amis, et là j'hésite quant à ce qui a été conclu entre vous au préalable, soit finir le travail - consistant à achever la voisine dérangeante en raison d'un logement se trouvant sous les chambres de tes enfants, et nuisant à la bonne tranquillité de ces derniers - soit la torturer en la gardant en vie de manière à ce que quand tu rentres de ton petit voyage tu puisses continuer de jouer avec elle toi aussi, parce que c'est top.

Les quelques résidus de conscience que toi et ta clique pouviez encore avoir, se sont évaporés très rapidement sous la frauduleuse raison d'une mise en danger des enfants (par moi). Dans un huis-clos familial c'est tellement plus facile de se monter le bourrichon, et surtout comment trouver LA bonne raison pour poursuivre ce fabuleux jeu à distance qui bat en adrénaline tous les meilleurs jeux du monde, autre que brandir les enfants comme potentiellement menacés (par ma présence) ? Que vaut un Fortnite en comparaison de ton matos pouvant en temps réel faire tousser, éternuer, sursauter, provoquer douleurs multiples, éclairs intrâcranniens, etc. sur un être bien vivant ? Rien. Rien ne vaut CE jeu de la torture High-tTech.

Quand tu es revenu de ton petit séjour, tu t'es donc réjoui de ma santé déjà délabrée et bien décidé toi et les tiens à faire d'une pierre deux coup en reprenant les rènes de votre petit jeu favori, et en vous adonnant à loisir, suivant VOS humeurs, VOS allées et venues, VOS disponibilités, à des parties jouissives avec le corps de votre voisine jusqu'à ce que mort s'ensuive.

Avec le temps, vous avez banalisé l'acte criminel, et me faire éternuer à distance par exemple, ne représente plus pour toi et ta clique qu'un geste d'une désinvolture déconcertante, une action aussi légère que celle d'aller chercher son pain. En 1944, les Sonderkommando pilaient les morts avec cette même désinvolture que le temps qui passe permet de ressentir.

Je me permet l'analogie avec cette d'atrocité d'hier, parce que le procédé est le même. Et je suis bien sûre Steph, qu'après des années de tortures high-tech contre moi, tu ne te poses même pas la question, d'ailleurs te l'es-tu posée un jour, de savoir si c'est normal ou pas de pouvoir faire lever le petit doigt de quelqu'un à distance, ou de lui provoquer l'envie irrépressible d'uriner.

Je te le dis ici, espèce de psychopathe ordinaire, non ce n'est pas normal. Si quelqu'un d'intègre et d'autorité pouvait visualiser ce que vous me faites depuis neuf ans toi, ta femme, tes enfants, et matérialiser la douleur, tu irais tout droit en taule. Je me permets même de penser que tu serais saisi de stupeur à l'idée qu'on te mette les menottes aux poignets, tant tu es enfermé dans cette position de la toute-puissance qui te fait croire que les actes de barbaries que tu pratiques quotidiennement contre moi sont ce qu'il y a de plus normal.

27 août 2023 : Je suis toujours en vie Steph, et je t'emmerde toi & ta clique.