Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Visiteurs
Depuis la création 102 476
                                                                            
Traducteur

Targpixel 2

logo torture à distance

Derniers commentaires
Archives
29 mai 2023

Álgos

On peut bien l'écrire dans toutes les langues que la douleur restera indescriptible, inénarrable. Le seul moyen de la faire comprendre à autrui serait de la lui faire ressentir. Impossible dans la persécution qui nous occupe de transmettre le mal à celui qui lui donne une place de choix.

Mes voisins du premier étage n'y connaissent rien à la douleur, le fait est que les tortionnaires sont comme les cordonniers, les plus mal chaussés ! Pourtant la douleur est intégrée au cœur de leur vie sans aucun angle mort, mais il ne savent d'elle que les conséquences qu'ils voient sur moi. Mes moulinés des pieds pour échapper à ces décharges insupportables peuvent éventuellement leur donner un aperçu de la douleur, mais ce n'est pas pour autant qu'ils la connaissent.

Ils croient la dominer parce qu'ils ont le pouvoir de la diriger sur autrui. Ils se trompent, les yeux vides et les mains rivées sur la possibilité de faire mal, qu'ils ne laisseront échapper sous aucun prétexte, ils exultent. Les Nazis ont fait la même chose, avec ce même sentiment d'invincibilité à organiser le mal sous un angle de masse. Dans un appartement cossu d'une ville tranquille, des voisins nazifiés par ce même pouvoir d'utiliser la douleur sur autrui, se croient les rois du pétrole en torturant à distance des êtres démunis. Ils ont cependant un avantage sur leurs prédécesseurs, la torture à distance.

À ce niveau de lâcheté, on utilise le terme de névrose. Après une bonne heure de traitement inhumain sur la voisine du rez-de-chaussée, qu'en est-il de leur mine et de celles de leurs petits nazillons pas encore sortis du nid ? Dehors le soleil brille, c'est jour de pentecôte et il se peut que le détraqué au-dessus de ma tête se soit pris pour le Saint-Esprit descendu sur ses apôtres, les pions de service. L'esprit de mon voisin est tout à part sain. Un type qui ne supporterait pas le quart de ce que moi je viens de supporter en ce début d'après-midi chrétien. Une ordure comme seuls les hommes peuvent en créer, un être humain quoi ! Avec femmes et enfants élevés à la sauce nazillarde sans idéologie ni raison. Un petit frustré qui a appris à ses gosses à torturer avant de jouer à la poupée. Une larve.

Bruxelles

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité