À la poursuite d'octobre rose
La privation de sommeil est particulièrement intense en ce moment, et les douleurs, sévères. Chaque année je me promets qu'à l'arrêt du harcèlement, quand le matériel high-tech utilisé par mes voisins permettant de me torturer à distance, aura été reconnu, je participerai enfin à la Lorientaise, course organisée chaque année contre le cancer du sein, même si je trouve regrettable que les hommes ne soient pas conviés à cet évènement, mais cela est un autre sujet.
C'est raté pour cette année encore, en raison d'une trop grande fatigue, non liée au cancer mais à un harcèlement au cœur duquel l'omerta règne en maître. Néanmoins, à l'instar du cancer, les moments d'espoir existent dans la reconnaissance de cette forme de persécution perverse.
Si la recherche contre le cancer permettant de parvenir à certains résultats probants contre cette maladie, avance, la recherche pour parvenir à la vérité dans le harcèlement électromagnétique/En réseau avance également, timidement, mais chaque petit pas effectué afin d'être entendu(e)s par le plus grand nombre, et en premier lieu par les autorités, est un pas de plus vers la fin d'une maltraitance détestable.
Au moment où j'écris ces mots, je tousse, je baille, je peine, car juste au-dessus de ma tête, un homme, ou une femme, ou un mineur peut-être, active un dispositif assassin permettant de faire souffrir à distance. Citoyen ordinaire parmi la multitude, capable de s'émouvoir d'une marche contre le cancer, peut-être même d'y participer, tout en étant l'instigateur d'une brutalité possiblement à l'origine de l'apparition d'une telle maladie chez un individu ciblé.