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Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
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27 juin 2021

"On ne t'entend pas, t'es quelqu'un de tranquille !"

     Ce sont les mots du présumé harceleur en chef lors de notre dernier contact. En sept ans, nos "échanges" se sont comptés sur les doigts de la main, le plus souvent nourris de quelque banalité. Il y a quelques semaines, je le croisais en rentrant chez moi. Il est sorti de sa voiture avec un sourire, et m'a dit comme à chaque fois "Ah bonjour, ça fait longtemps que je t'ai pas vue !" Je me suis contentée d'attendre la suite.

     La suite c'est un cambriolage de son logement aux alentours de mi-avril. Il semble avoir besoin de me le dire, tout en ajoutant que je n'ai pas l'air bien, LÀ où je suis, dans ce quartier , et ce logement  ! Et pour cause ! Je lui réponds que je suis malheureusement toujours harcelée et que je ne peux toujours pas le prouver. Le moins qu'on puisse dire est qu'il ne se montre pas curieux.

     Je reviens sur le sujet de son cambriolage, me demandant bien comment les voleurs ont pu trouver un créneau pendant lequel les harceleurs n'étaient pas chez eux. Ça turbine dur sous mon crâne, et je me dis que forcément c'était à un moment où je n'étais pas chez moi non plus, car si j'avais été chez moi, il n'y aurait pas eu effraction au premier étage because milice familiale présente.

    Je réfléchis le plus rapidement possible. J'essaie de savoir pourquoi il semble nécessaire au présumé bourreau en chef, de me signaler qu'il a été cambriolé. Peut-être pour m'effrayer. Non franchement, pas ça ! Comment pourrais-je être effrayée par ce genre d'acte après le matraquage dont je fait l'objet depuis sept ans ? Du coup, je lui demande ce qui a été volé. Un ordinateur et des bijoux, mais la chambre des enfants n'a pas été touchée. Bien bien.

    Là encore, je réfléchis à vitesse grand V. Les voleurs ont-ils vu le matériel servant à ma torture, et l'ordinateur qu'y avait-il dessus ? Enfin, je la joue compatissante, presque autant que lui quand je lui dis que j'ai eu un cancer. Là encore, difficile de jouer les surpris mais je vois qu'il fait du mieux qu'il peut, un "Ah merde !" mollasson viendra clore un bref semblant de discussion totalement décousue et horriblement hypocrite. Je replonge dans les billets de mon blog et retrouve cette période d'accalmie que je n'avais jamais connue jusque-là. Je n'ai effectivement pas écrit du 9 au 19 avril, et retrouvé le témoignage audio mentionnant une accalmie qui m'avait même laissée supposer que c'était la fin de ma persécution. C'était mi-avril. Un lien avec le cambriolage ?

    La police est venue là-haut constater les dégâts. Bien sûr, ils ne se sont nullement aperçus que sous leurs pieds quelqu'un était en grand danger. Comment auraient-ils pu le savoir ? Et si jamais...

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