Courir après le sommeil

29 avril 2021

Depuis une quinzaine de jours, la privation de sommeil a repris. Soit j'ai le droit de m'endormir vers 23h/23h30 mais je suis réveillée très tôt, vers 2 h du matin, et ensuite cela dépend si je me ré-endors rapidement ou non. Quoi qu'il en soit, un tir d'ondes m'est envoyé systématiquement à 6 h du matin, puis 7h, puis 7 h 30, heure du lever. Si jamais je n'ai pas à me lever pour aller travailler, les tirs continuent jusqu'à ce que je sorte du lit.

Je n'en démordrais pas, il faut être détraqué pour passer une partie de son temps à utiliser ce genre de procédé sur la durée, envers une personne qu'on ne connaît pas. Cacher ses déséquilibres mentaux derrière l'apparence d'une sympathique famille parfaitement lisse, et aux zéro-défaut, correspondant au modèle de ce que tout à chacun se représente comme famille idéale, ne saurait demeurer ainsi sans qu'à aucun moment le vernis ne s'écaille.

Le seul fait d'accepter d'avoir chez soi, à proximité des enfants, un dispositif totalement illégal, permettant de nuire à quelqu'un à distance en lui envoyant des fréquences dans tout le corps et capable de provoquer tout un panel de conséquences physiques et neurologiques destructrices, dénote forcément une faille chez les individus utilisant ce matériel. Soit il y a altération de la raison et de la réalité de ce qu'ils font, soit la perversité et le sadisme réunis permettent cette absence caractérisée de toute empathie, négligeant la victime au point de ne même plus lui attribuer le statut d'être humain, et banalisant du même coup la violence exercée contre elle.

Quelle que soit la forme de déséquilibre dont sont atteints mes voisins, ce sont des malades mentaux, et ce n'est pas parce que toute la famille participe que le déséquilibre n'existe pas. L'hystérie collective a toujours été, permettant cette dissociation entre le groupe et la proie, l'entretien de cet aveuglement par les différents membre du groupe, et la poursuite de la brutalité par la stimulation collective.

Cela fera sept ans au mois de juillet 2021 que j'habite en ces lieux. Les propriétaires sont forcément partis en vacances plusieurs fois en ces sept longues années, or, il y a toujours eu quelqu'un pour me persécuter. Il y a donc groupe, je dirais même plutôt mafia familiale, avec une émulation permanente des uns et des autres pour poursuivre la persécution. Vous ajoutez à cela le pouvoir d'avoir en sa possession un matériel quasi-indétectable, et la dose de sadisme nécessaire à la bonne exécution du traitement, et la personne qui se trouve être la cible de ce funeste petit jeu familial n'a aucune chance de s'en sortir.

Merci aux personnes ciblées espagnoles pour leurs affiches.