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Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif

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24 avril 2024

Quand l'invisible se voit (la suite)

Samedi 20 avril 2024. En plein après-midi deux jeunes ados, probablement en pleine crise de testostérone, frappent très fort à ma fenêtre. Ils réitèrent dans la soirée. En temps normal, chacun serait tenté de se dire qu'il faut bien que jeunesse se passe, et qu'il y aura toujours des petits cons, excités par l'effet de groupe, et le besoin de se sentir exister, tentés de se prouver qu'ils n'ont peur de rien. Nous sommes toutes et tous passés par là.


Dans le harcèlement en réseau c'est autre chose, la vie de quelqu'un est en jeu, la mienne, et l'incident mérite d'être relevé. Pourquoi ? Parce que l'efficacité de ce type de persécution se situe dans l'invisibilité. Tout réside dans le fait de n'être ni vu ni entendu du nombre, à part de la cible elle-même.


Là, pour le coup c'était bien raté. Il y a donc plusieurs hypothèses pouvant expliquer cet incident. Il faut savoir que les deux ados sont les amis de la fille de mes voisins supposés être mes tortionnaires principaux dans le harcèlement qui m'occupe.

 

1 - Soit les deux jeunes garçons espèrent briller un tant soit peu envers leur belle (la fille de mes harceleurs) en jouant les coqs sous mes fenêtres. Dans ce cas précis, ils ont connaissance du dispositif high-tech installé dans mon environnement immédiat, et/ou participent activement à me torturer à distance quand ils sont là.

 

2 – Soit les deux jeunes garçons cherchent à venger leur amie de sa voisine (moi-même) qui n'arrête pas de gueuler à travers les murs, et mettre sa musique à fond quand on s'acharne sur elle, alors que ses voisins n'y sont pour rien du tout dans son harcèlement (dans ce cas, je me serais plantée dès le départ).

 

3 – Soit les deux jeunes garçons profitent de l'absence définitive du tortionnaire en chef - mon voisin, venant de quitter le domicile familial pour un autre ailleurs – figure d'autorité désormais absente, laquelle canalisait peut-être jusqu'ici les plus jeunes.

 

Je l'ai toujours dit, il y a des mineurs dans mon harcèlement, et ils n'ont absolument pas la maturité pour prendre les précautions nécessaires à ce type de persécution réseautée. La gravité de l'atteinte à l'intégrité physique d'une personne, l'aspect définitif de la mort, le justiciable, la peine encourue ne leur parle pas dans le sens où ils sont dans la toute-puissance et n'ont aucun plomb dans le crâne. Si ils obéissaient auparavant à ce qui représentait pour eux la figure d'autorité, et qui est désormais absente, ils sont livrés à leur propre imbécillité, et n'ont plus aucun curseur, ni personne pour les raisonner, en l'occurrence, leur dire de faire gaffe parce qu'un assassinat peut se voir.

 

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20 avril 2024

Quand l'invisible se voit

Quand un pion frappe

très fort à votre fenêtre,

c'est qu'il, elle, est soit très jeune,

soit très con.ne, soit les deux.

31 mars 2024

Torture de l'oeil gauche

Les nazifiés de la vie ordinaire - famille irréprochable au train de vie confortable, intégrant cette catégorie d'individus déviants et dont les autorités s'en aperçoivent que quand il est trop tard – s'en prenaient jusqu'ici à mon œil droit. Ils avaient pris cette habitude, relevant pour eux d'une banalité glaçante, de me faire ressentir une gène comme un cil tombé à l'intérieur de l'œil, ou cette sensation de grain de sable très inconfortable.

 

C'est arrivé à tout le monde un jour ou l'autre dans sa vie, de filer devant un miroir pour ôter le plus vite possible ce corps étranger tombé dans cet endroit du corps qui possède le plus de terminaisons nerveuses, et donc des plus sensibles. Quelle que soit la tâche qui vous occupe, si un corps étranger se trouve pris dans un de votre œil, plus rien n'existe d'autre à ce moment que l'empressement de l'enlever.

 

Pour moi, personne ciblée par harcèlement électromagnétique, c'est chose impossible. Je dois faire tant bien que mal, depuis des années maintenant, avec une sensation de grain de sable dans l'oeil de manière très fréquente. J'aurais beau scruter l'intérieur de mon œil dans un miroir, je n'y verrai rien d'autre que des vaisseaux rétiniens éclatés par des frottements irrépressibles. Quelquefois, les harceleurs, du haut de leur perversité, font rouler ce grain de sable fictif sous la paupière afin d'augmenter la sensation de gène.

 

Dernièrement, j'ai malheureusement eu un problème à l'oeil gauche en raison d'un coup de vent, et totalement indépendant du harcèlement. Une poussière s'est infiltrée dans mon œil, j'ai perdu ma lentille, et je n'ai eu qu'une hâte c'est de rentrer chez moi pour y mettre du collyre, toujours à disposition afin de me soulager des attaques, même si dans ces circonstances, le collyre n'a pas d'effet. Les planqués derrière leur mur ont saisi l'occasion, trop belle, comme ils ont l'habitude de le faire, d'exacerber le phénomène existant en y allant de leur petite patte de sadiques.

 

Suite à ce qui n'est à la base qu'un incident, et qui aurait dû en tant normal se guérir rapidement, mon œil gauche ne guérit pas. Tous les jours, depuis cette malheureuse poussière attrapée au-dehors, une famille de tarés s'acharne sur ce qui représente une aubaine pour eux, une partie de vous diminuée, dans le but de la finir. Mon œil est en piteux état. Le matin, c'est particulièrement atroce. Ils ciblent le canal lacrymal, et aussi la conjonctive laquelle se situe en bas de l'oeil, endroits particulièrement douloureux.

 

Sinon, à partir de ce soir, c'est fin de la trève hivernale. Alors que 140 000 personnes vont être jetées dehors, à défaut de pouvoir payer leur loyer, d'autres, vautrées dans le confort d'un grand logement, vont occuper leurs pensées à autre chose que d'éviter la rue. Bien loin de l'idée de devoir peut-être dormir dehors, trouver le moyen de tromper leur ennui bourgeois, consistera à massacrer des innocents à travers les murs.

https://www.oph78.fr/ophtalmologie/anatomie-oeil/#definition

 

23 mars 2024

Il y a des fumeurs chez les harceleurs

Rentrée depuis quelques jours. La relative accalmie à mon retour est passée progressivement à des hostilités modérées lesquelles ont laissé place pour le week-end à des attaques plus intenses. Acouphènes, démangeaisons faciales, picotements dans la gorge avec montée de larmes irrépressible au moment d'aller dans ma chambre pour ranger mes affaires, cris de goélands intempestifs etc. m'accompagnent de nouveau.

 

Durant mon absence j'ai pris quelque hauteur, et je dois admettre qu'à 3000 m d'altitude au beau milieu de rien, j'ai pu de nouveau apprécier la normalité. En redescendant, c'était moins évident. Ai-je été attaquée de manière très légère, ou est-ce mon cerveau, perturbé par les récentes tortures qui a pris tout ce qui arrivait comme une attaque, difficile à savoir. En tous les cas, rien à voir avec ce que je vis chez moi.

 

Après avoir repris quelques couleurs, et plus en forme, j'en ai profité pour faire le grand nettoyage de printemps devant chez moi. Lavé les vitres, nettoyé mon entrée, et bien sûr un mégot tout neuf n'a pas tardé à s'inviter devant mon entrée toute propre, au ras de la porte. Photo ci-dessous dudit mégot. J'ai soigneusement mis la bête dans un sac congélation, pour plus tard. L'ADN est quelques chose qui me parle. Il arrive aussi régulièrement que des picolos boivent un coup devant chez moi mais généralement ils fument des roulées, voilà pourquoi le mégot ci-dessous, ira rejoindre le paquet de compote vide laissé au fond de ma boîte aux lettres en 2018. Des mégots et un sachet de compote ne constituent pas une preuve. Aujourd'hui, non. Demain, peut-être. Tout est une question de recoupement.

 

6 mars 2024

Jusqu'au travail

Le harcèlement déborde de plus en plus souvent jusqu'à mon travail, accompagné de cris de goélands devenus incessants partout où j'arrive et d'où je repars. Il est possible que des pions soient sur place à mon arrivée dans mes déplacements, ou bien les tirs d'ondes sont envoyés à distance. Peu importe, l'urgence pour les harceleurs est de nuire. Ce n'est pas une question de vie ou de mort, cette part m'est réservée. Pour eux, la torture high-tech, c'est un trip qui dépasse en sensations toutes les drogues qui t'envoient dans les étoiles. Si tu fumes un joint à 15 ans, c'est illégal, c'est pas bien, mais tu peux torturer, ça, papa et maman te l'autorisent. Ils vont même te montrer comment faire. Tu vas voir ma chérie, tu vas décoller !.

Enfin, ce qui était rare il y a encore quelques semaines est devenu quasi quotidien à mon travail. Ils ne peuvent plus se passer de moi. Je suis devenue leur dose, remplaçante du petit sachet blanc à un moindre coût. Mes yeux prennent chers alors que la pupille des leurs se dilatent de plaisir à chaque tirs d'ondes envoyés vers la voisine.

Douleurs, acouphènes, démangeaisons s'invitent en plein cœur de tâches à accomplir, accompagnées de nuits difficiles, voire quasi blanches comme les deux dernières. D'ailleurs, j'ai eu droit à deux tentatives d'étouffement concernant celle qui vient de passer. Toujours avec cette volonté putasse de m'empêcher de dormir. Les harceleurs semblent n'en avoir jamais assez, ce qui expliquerait la persécution jusqu'à mon travail, laissant parfois mes interlocuteurs perplexes ne comprenant pas mon comportement.

Les camés de la torture à distance qui me persécutent n'ont strictement rien à foutre des dommages collatéraux, et que leurs attaques sur moi-même mettent à mal le confort de tierces personnes. Ce n'est pas leur problème. LEUR problème c'est moi, ce qui est d'ailleurs un faux problème car ma torture leur offre une jouissance qu'ils n'auraient jamais pu se permettre même dans leurs rêves les plus fous. Offrant aux plus jeunes d'entre eux la possibilité d'éprouver un brin d'importance au sein d'un monde noyé sous des profils instagram ratés, et des téléréalités débiles, les personnes ciblées sont la nouvelle metha à la mode de jeunes loosers en mal de gloire. Ils, elles ont l'impression de toucher le Graal en brutalisant une femme, adulte. Le En vrai devenu indispensable à tout début de phrase de jeunes en mal d'identité prend tout son sens en me torturant. Il faut imaginer leur retour de vacances après avoir été sevré(e)s pendant quelques jours de leur toute-puissance juvénile, et leur joie à reprendre du service, du haut de leur crétinerie d'impubères.

Pourquoi vous criez Madame ?

Descends un peu voir, que je t'explique.

 

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4 mars 2024

En France la torture est autorisée aux moins de 18 ans

Le harcèlement électromagnétique passe par des tirs d'ondes violents et douloureux à des tirs parfois beaucoup plus subtils, dont il est impossible de savoir vers où ils sont dirigés. Pour autant ces derniers provoquent des réveils instantanés qui permettent difficilement tout ré-endormissement, ce qui laisse peut de doute quant à leur dangerosité sur la santé.


Aussi, la moindre action du quotidien se traduit généralement par une douleur, une gêne ou des démangeaisons me mettant toujours dans une situation au mieux d'inconfort, au pire, intenable en raison de la douleur infligée. Le déroulement de cette brutalité peut différer dans l'intensité suivant l'humeur, l'emploi du temps et/ou les harceleur(e)s étant à la manœuvre.


Il faut bien garder en tête que le dispositif utilisé et son exceptionnelle capacité à nuire, ne signifie en aucun cas qu'il est utilisé apar des individus exceptionnels. Bien au contraire, ce qui rend son utilisation d'autant plus abjecte et dangereuse est cette dualité persistante entre un produit remarquable et la crétinerie de ses utilisateurs. En ce sens, c'est une véritable bombe à retardement qui est en passe de fondre sur le plus grand nombre tour à tour victime et/ou bourreau potentiel. Les enfants ne sont aucun cas épargnés par cette ignominie les plaçant d'un côté ou de l'autre de ce dispositif assassin.

Extrait de la lettre bientôt envoyée ay Ministère de la Justice avec les éléments ci-dessous.

 

17 février 2024

Les travaux

Ce matin 17/02/2024, réveillée par des coups de marteau au loin. Le temps que je sorte du sommeil, une douleur au-dessus du sein droit se charge de me rappeler où je suis, et de me faire savoir que tout près se trouve une ordure au taquet. Classique.
Je me lève et voit par la fenêtre un camion de travaux avec deux hommes s'afférant autour avec divers outils.

Il y a dix ans de cela, je me serais automatiquement dit qu'ils étaient dans le coup, mais de longues années ont passé depuis pour que je dissèque les évènements de manière clinique. Des harceleurs se greffent sur les travaux, tout simplement.

Dans leur sonothèque de merde, la perceuse a toujours bonne place, et les deux ouvriers serviront de superbes fusibles pour accommoder la nuisance du jour. Au-delà des attaques sonores, des douleurs ponctuelles s'invitent à la fête, relativement intenses, rapides et douloureuses dans le sens où elles sont envoyées au niveau du coude ou dans le dos de la main. Le gras est particulièrement absent dans ces zones du corps, si fait que c'est l'os qui prend.

Il ne faut pas oublier non plus que ce sont les vacances de la zone A, et que des invité(e)s surprises peuvent éventuellement avoir débarqué, et bénéficier de leur part du gâteau, en profitant de vacances premium avec la tête de la voisine de leurs potes et ou cousin(e)s.

Réveillée d'une petite sieste en début d'après-midi par devinez quoi ? Un bruit de perceuse, néanmoins un tantinet différent de ceux du matin.

Vers 16h30, je sors et note la plaque du camion des ouvriers pendant que je vois ces derniers poser une nouvelle porte de garage avoisinant mon logement.

Je reste prudente, les garages ont longtemps servi, et servent encore sans doute de planque pour exercer la torture high-tech. Tout ceci pour dire que quelque soit l'artefact se produisant dans une journée, les pions sauront toujours l'utiliser à des fins de malveillance. À partir du moment où l'on sait cela, il ne suffit pas d'essayer de trouver tout ce qui pourrait confirmer nos soupçons dans le sens de l'intention mais au contraire, essayer de se dire ce qui pourrait faire que telle action qui se déroule autour de nous ne relève pas du harcèlement. Après cela, c'est à nous qu'il appartient d'estimer ceci ou de conclure cela. De mon côté, l'envergure de la persécution a significativement maigrie depuis que je m'exerce à aller à rebrousse-poil de mes suspicions.

Cela ne veut pas dire qu'un certain nombre de harceleurs ne continuent pas de poursuivre leur petit travail de sape, mais la terre est toujours ronde, et les raëliens peuvent aller se faire foutre.

vignette-focus

 

14 février 2024

Une histoire d'acharnement

Depuis trois semaines environ, le harcèlement a repris de manière intense. C'est comme si du renfort avait été sollicité pour combler les périodes de creux. Le mardi midi, j'avais repéré une absence du harcèlement me laissant supposer un empêchement de quelque kapo disponible sur le planning dans cette plage de deux heures.

Depuis, le créneau semble avoir été comblé, et le ou la kapo trouvé(e) pour pallier à ce désagrément dans l'emploi du temps des bourreaux. Le 24H/24 n'y était plus tout à fait. Voilà qui est résolu. Je ne sais si faire acte de présence à ce moment de la journée ne représente pas une contrainte pour la petite ordure de service, toujours est-il que la seconde a été passée en matière de douleur. C'était couru. L'intensité et la durée des décharges allaient forcément augmenter selon la motivation, et/ou le devoir d'être là plutôt qu'ailleurs, de persécuteurs que la torture peut parfois ennuyer. A l'instar de tout bambin sans limite imposée, ils maltraitent alors ce jouet (moi-même) qui ne les divertit plus.

Si jamais l'ennui prend trop de place, ils changent alors de menu, en creusant le mode d'emploi de l'appareil high-tech, susceptible de leur redonner quelque jouissance dans l'exercice de la torture. Les endroits du corps attaqué vont changer, histoire de ragaillardir les décérébrés. Ils pourront aussi s'accorder pour poursuivre leur malveillance jusqu'à mon travail. Cette petite coordination dans l'application à nuire consistera :

1 – Soit à mandater un pion pour me suivre jusqu'à mon travail, et faire gueuler les goélands au moment de ma sortie, accompagné de un ou deux tirs d'ondes, histoire de me dire coucou, on est là !

2 – Soit le pion habite pas loin de mon lieu de travail, lieu avec beaucoup d'immeubles et une grande concentration d'individus au m2.

3 – Soit les attaques sont perpétrées depuis le lieu de résidence des harceleurs, ce qui expliquerait les tirs plus modérés car envoyés à grande distance, donc avec moins de portée.

Toujours est-il qu'en ce moment c'est plutôt festif chez les grassouillets de la malveillance.

 

 

24 janvier 2024

Interdire l'essentiel et voir

Dans le harcèlement électromagnétique il y a les réveils, et les interdictions de s'endormir. Dans les faits, ces deux états sont ravageurs pour la santé, et aussi dommageables l'un que l'autre sur le cerveau. C'est une des formes de tortures les plus abouties dans ce type de persécution, parce qu'elle permet au sadisme de s'exercer dans la minutie, et le souci du détail exacerbant le sentiment de toute puissance. Interdire à quelqu'un de s'endormir à la microseconde où le cerveau de la personnes ciblée par un dispositif assassin bascule dans le sommeil, et réitérer cette saloperie autant de fois que l'estime nécessaire ou jouissif, la crapule de service s'adonnant à cette petite gâterie, réduit d'autant les points de vie de la victime.

Car le harcèlement électromégnatique et en réseau, c'est un peu comme un jeu vidéo, sauf que la cible n'est pas virtuelle, et les points de vie ne se caractérisent pas par des pièges évités, mais des moments de répits glânés au fil des besoins de tranquillité des bourreaux, ou du délaissement de ces derniers de l'activité consistant à vous massacrer. Ce délaissement peut-être dû à une visite inopinée, un match de foot, ou une après-midi shopping, où bien encore un vernis à ongles à changer pour une jeune bêcheuse, vous ne le saurez jamais. Vous saurez juste qu'il vous faudra saisir ces quelques moments de récupération quand vous êtes chez vous, afin de prolonger d'autant vos points de vie.
Ce à quoi les harceleurs vous destinent est si jouissif pour eux et si peu réjouissant pour vous, qu'il faudra sans cesse slalomer avec la douleur, les multiples situations d'inconfort crées par ces petits enfants d'un Reich high-tech pour espérer vous en sortir, sans jamais savoir d'un jour à l'autre si vous serez encore en vie le lendemain.

À tout cette abomination domestique, s'ajouteront régulièrement des changements de menus dans la torture afin d'alimenter en permanence le plaisir fangeux des peigne-cul. Pour asseoir leur domination, ils passeront également les jours de grands faste et d'ego démesuré par le viol, afin de satisfaire leur exigence de refoulé(e)s. Là non plus, vous ne saurez pas, si c'est un homme, une femme, une vieille peau, ou une adolescente au visage encore poupon, qui sera à la manœuvre. Tout au plus pourrez-vous sentir à travers les murs le mal dans ce que ce dernier a de plus misérable. Rien de plus.

5 janvier 2024

Retour de vacances

On dirait que les enfants sont rentrés de leur lieu de villégiature. Ce qui expliquerait la nuit dernière particulièrement rude en matière de privation de sommeil, via tirs d'ondes, envie soudaine d'uriner etc. Je peux imaginer l'empressement alors à reprendre les hostilités après un sevrage de quelques jours pour les harceleuses en herbe, lequel m'aura valu quelque modération dans la souffrance.

Sans compter la bande de petits merdeux dans la cour, n'ayant manifestement aucun autre vocabulaire que le cri débile pour s'exprimer, mais en bande on est tellement plus forts ! Oui, tout ceci pourrait volontiers expliquer tout cela mais chut, il ne faut pas le dire.

"Madame, pourquoi vous criez ?" Bah voilà, tu l'as ta réponse. Je me défends. Toute seule contre vous tous. Un jour, chacun d'entre vous va se retrouver seul à un moment donné de sa vie, parce que ça nous arrive à toutes et tous au moins une fois. Il pensera à moi à cet instant précis où la peur le submergera. C'est comme ça, la vie nous le rend bien, toujours, sous une forme ou sous une autre. Vous verrez. 

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