Enième nuit peau de vache
La nuit a été épouvantable, comme tant d'autres. La façon dont elle s'est déroulée et sa violence, laisserait à penser à un retour des propriétaires. Le peigne-cul en chef étant particulièrement féroce après plusieurs jours d'absence. Comme tout bon toxico en manque, il a tendance a avoir la main lourde après un certain temps de sevrage. Ce qui serait néanmoins étrange étant donné qu'ils sont partis depuis moins d'une semaine, mais possible. Je sais que certaines personnes à qui j'ai demandé de l'aide, lisent ce blog. Merci de prendre en compte cette éventualité d'un retour précoce des harceleurs propriétaires, soit hier jeudi 12 août 2021, ou encore qu'ils ne soient tout simplement jamais partis. Ce ne serait pas la première fois que je me trompe, cela ne change rien à ma surveillance H24 et la torture infligée, TOUS les jours et TOUTES les nuits.
Il se peut aussi qu'un autre pion soit venu alimenter le sadisme du premier. Il est rare qu'une seule personne se trouve au-dessus de ma tête pour me surveiller et/ou torturer, déjà parce qu'elle s'emmerde pour le dire clairement, elle n'est pas chez elle et n'a pas ses affaires. Dans un second temps, être seule pourrait faire fonctionner par lui-même son cerveau atrophié par l'effet de groupe, et mettre en péril le bon déroulement de ma persécution consistant à ne me laisser aucun répit.
En tous les cas, la nuit fut ce qu'elle fut, et la journée d'aujourd'hui difficile à supporter au niveau de l'épuisement, quoique la matinée se soit passée sans trop d'effets indésirables. L'après-midi cependant, ce fut autre chose. Je me suis contentée de continuer de marcher à l'heure de ma pause pour éviter de m'arrêter, ce qui aurait eu pour effet d'exacerber les douleurs dans les jambes au moment de la reprise.
J'en ai profité pour repasser devant chez moi, et apprécié l'étendue du calme plat qui tranche singulièrement en dehors de mes horaires habituels d'entrée et sortie. Cette petite escapade en dehors de mes horaires, me permet de conforter mon idée que les cris de goélands sont bien perpétrés de manière directe (vrais cris) ou indirecte (enregistrements) par les harceleurs, et ne sont pas automatiques. Je ne peux m'empêcher alors de réprimer un sourire à l'idée du temps monumental de perdu pour ces dégénérés à être esclaves quelque part de mes allées et venues. La surveillance de quelqu'un 24h/24 n'est pas un sacerdoce, et il faut en passer par beaucoup d'abnégation, ce qui est la source d'un indéniable plaisir pour moi.
Entre tous les tirs douloureux que j'ai reçu depuis 24h, il y en a un qui dépasse allègrement l'échelle de 10 dans les valeurs maximum de la souffrance, une douleur soudaine dans la cavité oculaire d'une extrême violence. Cela fait plusieurs fois que je la ressens et elle est indescriptible.
Sinon, les apnées sont légion et le cœur en prend un coup à chaque fois. Egalement très mal à la gorge ce matin. Baillements et éternuements provoqués de manière arbitraire terminent de m'épuiser.