Peaux de vache (la suite)
Les tirs d'ondes électromagnétiques au moment du coucher, hier soir, soit mardi 06/04 furent extrêmement violents, sous l'orteil notamment, comme si on m'enfonçait une aiguille sous l'ongle, et en matière de sursaut également. La nuit ne le fut pas moins avec interdiction de m'endormir. Il y a du monde là-haut en ce moment, et peau de vache est là. De celle, celui ? qui vient un week-end sur deux et dont le confinement a peut-être favorisé la venue à un autre moment. Difficile à savoir.
Il arrive cependant que la vie nous fasse parfois quelque cadeau, très rare. Normalement, j'aurais dû me lever à 7h pour aller travailler, mais j'avais reçu un SMS la veille, m'informant d'un contretemps. La satisfaction des voisins kapo au-dessus de ma tête ne fut sans doute pas complète. Je reçus d'ailleurs un énième tir à 7h34, signalant là l'impatience d'une crapule de faction, voire le dépit, de ne pouvoir exulter totalement à l'idée de m'observer devoir me lever pour aller travailler après une nuit quasi-blanche. J'ai souri dans ma tête, en pensant même au chefaillon, attendant peut-être, du haut de toute sa crétinerie de démarrer sa voiture, comme cela lui arrive régulièrement le mercredi matin, pour débouler à ma hauteur, et s'apercevoir que je ne sors pas de chez moi, encore au lit, sous les tirs, certes, car il me fut impossible de me ré-endormir, mais allongée.
Préparation d'un autre envoi en cours. J'ai décidé de croire que trouver une aiguille dans une meule de foin était possible. L'aiguille sera la personne d'autorité qui décidera de se pencher sur ma situation.