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Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
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20 octobre 2018

Survivre à la nuit

   Demi-tour à droite-droite ! C'est ce qu'a eu pour effet un tir d'ondes électromagnétiques particulièrement violent, envoyé vers l'épaule. Tout le haut de mon corps s'est alors retourné de manière incontrôlée. C'était dans le nuit du 18 au 19 octobre, sachant que celle du 16 au 17 était déjà blanche, voilà qui a clotûré une semaine dantesque en manière de torture électronique, de jour comme de nuit. Hier matin, le lever de soleil avait une saveur particulière, et l'impression pour moi d'avoir réussi à passer la semaine comme on traverse un champ de mines, et échappé au pire. J'avais déjà parlé de ces ondes à effet psychotrope, impliquant que le cerveau sollicité à l'excès, se trouve alors dans une sorte de transe suréveillée, annihilant du même coup tout ressenti de fatigue. J'avais alors utilisé le terme d'ondes à effet cocaïne, générant un état d'éveil permanent.

   C'est cet état dans lequel je me suis retrouvée, hier vendredi, durant toute la journée, après une nuit blanche passée sous les décharges électromagnétiques. Aucune fatigue ressentie, aucun coup de barre mémorable, comme tout à chacun en ressent normalement après une nuit blanche. Rien, rien qu'un corps et un cerveau surexcités, stimulés à l'excès, et dans une incapacité totale de repos. Cet état réprésente pour moi ce que j'appelle la zone rouge, le moment où le cerveau peut lâcher à tout moment, lui reste à choisir entre l'anévrisme, l'accident vaculaire cérébral (AVC) ou l'arrêt cardiaque. Dans le jargon de la drogue, on appellerait cela une overdose, je suppose. Sauf que je ne me drogue pas , et que les instigateurs de cette condition extrêmement dangereuse pour ma santé, sont mes propres voisins, crétins parmi les crétins, adeptes de la domination sur autrui avec une assiduité qui fait peine à voir.

   Ce matin samedi, la BMW de blinbling (harceleur en chef) trônait en face de ma fenêtre. Je ne risquais pas de rater le tank, faisant ressembler toutes les autres voitures dans sa proximité à des jouets pour enfant. Monseignôre est arrivé tout-frais-tout-beau, comme par hasard au moment pile où j'arrivais moi aussi devant ma fenêtre, et surtout devant ma cafetière posée à côté de la fenêtre. Il avait le clope au bec, fidéle à lui-même et décontracté, type cool et in, à un cheveu du cliché.

   Comme à son habitude aussi, blingbling a ouvert le capot de son tank pour plonger sa tête dans le moteur, action apparemment qu'il affectionne, étant donné le nombre de fois où j'ai pu le voir s'adonner à ce petit rituel. J'ai espéré d'abord que ledit capot se referme brutalement sur sa tête de Kapo, et l'allusion m'a fait sourire, mais rien de ce genre ne s'est passé. En revanche, quand j'ai vu sa cigarette fumer, et Je suis une légende plonger à nouveau sa tête dans le moteur, j'ai presque prié pour la fuite d'huile ou d'essence, ou quelque chose de ressemblant, qui pourrait s'embraser et réduire le harceleur en chef en un fétu de paille, se consumant sous un radieux soleil d'octobre. Nous sommes si peu de chose ! Aussi, monseignôre aurait eu tout le loisir de constater, en brûlant tout vif, qu'il n'était pas Dieu... Tout compte fait !

   Bref, j'ai imaginé tout un poème, mais rien de ce genre ne s'est passé bien sûr, et blingbling a démarré, assuré sans doute que je n'ai pas perdu une miette de sa présence crasse devant mon logement. Voilà qui est bien dommage que le feu n'ait pas voulu de lui. Peut-être le cancer du fumeur ? Ou alors l'accident de voiture ? J'aimerais bien sûr que mes nuits soient vengées, de quelque manière que ce soit. Il faut toujours garder espoir. Alors le feu, le cancer, l'accident de la route, peu importe, blingbling est mortel, et en soi, cela me suffit.

 

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Commentaires
G
Bonjour,<br /> <br /> <br /> <br /> Et voici à nouveau:<br /> <br /> <br /> <br /> Relier entre eux les cerveaux humains<br /> <br /> <br /> <br /> Début octobre, un article de chercheurs en neurosciences des universités de Washington et de Carnegie-Mellon – qui devra encore être évalué par des spécialistes avant publication – a fait le « buzz » avec son titre alléchant, « Brain-Net, une interface ­cerveau-cerveau pour une collaboration directe entre cerveaux »<br /> <br /> <br /> <br /> LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | 24.10.2018 à 07h00 | <br /> <br /> Par Marie-Laure Théodule <br /> <br /> <br /> <br /> L’expérience des chercheurs des universités de Washington et Carnegie-Mellon amène trois personnes à jouer ensemble à Tetris « par la pensée ». <br /> <br /> <br /> <br /> Les défis de la science - Le dispositif Brain-Net fait communiquer, mais de manière très primaire, le cerveau de trois personnes pour déclencher une action sans intervention manuelle. Il combine deux techniques non invasives, l’électroencéphalographie (EEG) pour enregistrer les ondes de l’activité cérébrale et la stimulation magnétique transcrânienne (TMS) pour stimuler certains neurones en leur appliquant un champ magnétique.<br /> <br /> <br /> <br /> Trois personnes, deux émetteurs et un récepteur, toutes pourvues d’un casque EEG, sont mises en relation. Les deux émetteurs indiquent au récepteur « par la pensée », si oui ou non il doit faire pivoter une brique dans un jeu de Tetris simplifié et ralenti. Comment cela se passe-t-il ? Les émetteurs voient défiler sur leur écran une brique et la ligne du bas où elle pourrait s’encastrer si elle était placée dans le bon sens. Le receveur ne voit que la brique sur le sien. Les émetteurs fixent leur attention sur l’une ou l’autre des deux LED placées de chaque côté de l’écran : l’une clignote à 17 hertz (Hz) pour oui, l’autre à 15 Hz pour non.<br /> <br /> <br /> <br /> Un taux de réussite de 81, 25 %<br /> <br /> <br /> <br /> Ce choix déclenche dans leur cerveau une onde à la même fréquence captée par leur casque EEG ; elle est convertie en signal numérique (en pratique 1 bit) qui sert à faire ou non pivoter la brique et est transmise via un réseau Internet au système TMS placé, dans un bonnet, sur la tête du receveur au niveau du cortex visuel.<br /> <br /> <br /> <br /> S’il faut faire pivoter la brique, le système génère via la TMS un phosphène, une illusion de flash lumineux perçue par le receveur. Ce dernier décide alors (ou non) de faire pivoter la brique en fixant lui aussi son attention sur la LED idoine. Le jeu s’effectue en deux tours, ce qui permet au récepteur de corriger son premier choix. Le test a été effectué auprès de cinq groupes de trois personnes avec un taux de réussite de 81,25 %.<br /> <br /> <br /> <br /> Dans un deuxième temps, de manière aléatoire, l’un des deux émetteurs se trompe systématiquement. Résultat : au bout de quelques parties, le receveur choisit l’émetteur qui le fait gagner. Les chercheurs estiment ainsi refléter un peu la complexité de la communication sociale humaine, où l’on établit des priorités dans les échanges.<br /> <br /> <br /> <br /> Applications thérapeutiques<br /> <br /> <br /> <br /> Toutefois, pour Jérémie Mattout, du Centre de recherche en neurosciences de l’Inserm à Lyon, « cette expérience n’offre pas grand intérêt. Elle montre qu’on peut coupler deux technologies déjà éprouvées pour réaliser un échange très limité et n’offre aucune perspective d’application. Aujourd’hui, on mise plutôt sur l’intérêt thérapeutique des interfaces cerveau-machine non invasives ». <br /> <br /> <br /> <br /> Son équipe teste actuellement un système de « neurofeedback » pour stimuler l’attention des enfants hyperactifs. Equipé d’un casque EEG, l’enfant doit fixer une colonne d’un jeu pour gagner : la concentration déclenche une onde dans son cerveau, et l’interface fait avancer le pion au bon endroit. En progressant par essai/erreur, l’enfant est censé améliorer son attention.<br /> <br /> <br /> <br /> Le même type de système semble faire ses preuves pour la rééducation motrice après un accident vasculaire cérébral (AVC). Dans ce cas, le casque EEG enregistre l’intention de bouger le bras, qui est transmise à un stimulateur électrique des muscles ou à une image virtuelle du bras. De même, en progressant par essai/erreur, le patient parvient de mieux en mieux à commander son bras. Une méta-étude parue en 2017 sur cette rééducation post-AVC présente des résultats encourageants.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Je crois maintenant que l'on peut nous croire concernant le coté "technologie" de notre harcèlement. Le plus compliqué je crois, est d'expliquer l'acharnement sur plusieurs années d'une organisation, d'un groupe sur notre personne d'IC.<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne journée.
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G
Bonjour,<br /> <br /> On a tous (tes) des scenarios en tête quand la souffrance est intolérable. L'imagination devient très fertile....<br /> <br /> <br /> <br /> Encore un article du Monde.fr (décidemment c'est à la mode!):<br /> <br /> 18 octobre 2018, par Luc Perino <br /> <br /> Renouveau du magnétisme médical<br /> <br /> "...............................................................<br /> <br /> Une étude récente a suggéré que des ondes électromagnétiques de faible intensité induisaient la réparation de l’ADN, alors que des ondes de forte intensité libéraient des toxines cellulaires. Ces recherches ravivent évidemment de nouveaux charlatans qui facturent des séances de magnétisme au prix de la neurochirurgie.<br /> <br /> .........................................................................."<br /> <br /> <br /> <br /> Comme quoi les journalistes connaissent ces mots : ondes électromagnétiques<br /> <br /> A quand un article sur leur utilisation comme arme?
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