Bonsoir infrason,<br />
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Oui, si le harceleur se considère comme la victime, cela lui permet de se dédouaner de ce qu'il fait. Si en plus il agit en groupe, avec l'assentiment du nombre, la notion de harcèlement lui échappe alors totalement. Chacun participant ponctuellement à la maltraitance, le sentiment de la réitération de l'acte, propre au harcèlement, réduit toute responsabilité individuelle au profit du nombre.
Bonsoir Laproscrite, le déni de l’harceleur c’est à mon avis, une question de convaincre les autres de sa propre victimisation, et à travers eux, si sa marche, arriver à effacer l’autre « la vrai victime « comme celle qui l’avait bien cherchée ce qui lui arrive, mais l’harceleur, n’est pas dupe de ces propres actes, seulement il reni l’autre, tant qu’il n’est confondu, qu’il est le seul responsable...,