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Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
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22 juin 2017

Le chêne et le roseau

chene10

  La journée du mardi 20 juin fut particulièrement difficile en raison de la chaleur, du travail, et d'une privation de sommeil plus intensive de la part des harceleurs, saisissant au vol cette occasion rêvée leur autorisant grâce à la météo caniculaire de jouir un peu plus de ma maltraitance. Comportement difficile à comprendre ? Nullement pour des citoyens ordinaires dont le plaisir ultime se trouve niché au coeur même de la souffrance d'autrui. Aussi, tout support leur permettant d'accroître ce plaisir, certes malsain, mais source pour eux d'une grande jouissance, est le bienvenu.

  Mardi soir, je suis donc rentrée chez moi vers 19h, sur les rotules mentalement, mais physiquement bien campée sur mes deux jambes à l'arrivée devant ma porte d'entrée, sachant que sans-couilles 1 planté derrière sa fenêtre côté cour, et/ou sans-couilles 2 côté rue, guettaient mon arrivée, ne voulant pas rater une goutte de leur jouet (moi-même) dont ils ne se lassent pas, et dont il était important pour eux de voir la difficulté de visu, après une nuit passée sous les tirs d'ondes électromagnétiques et une journée de travail en plein cagnard.

  Je n'oubliai pas de sourire à mon arrivée. Dès ma porte d'entrée refermée j'eus droit à un “boum” au-dessus de ma tête me faisant savoir que quelqu'un était là. Merci, mais au bout de trois ans il me semble avoir compris que des acéphales se chargent de camper dans le logement au-dessus de ma tête 24 h/24 7 j/7 afin d'assouvir leurs petites pulsions de refoulés refusant manifestement l'idée de se soigner, pour mon plus grand malheur.

  Du coup je leur lance un tonitruant : “Quand est-ce qu'on prend l'apéro ?” ce qui laissa s'installer un silence que je soupçonnai frustré quant à la souffrance que j'étais censée exposer après une si rude journée.

  Puis, je filai sous la douche n'attendant aucune réponse, et bien sûr comme à son habitude, le pion de service m'accompagna (au cas où je me perde en chemin). Les Tics Tics Tics d'usage furent distribués le temps que je me lavai et j'interpelai de nouveau le pion (ou la pionne) du moment, en lui disant:

  ”Tiens, regarde, j'ai un bleu au-dessus du genou !

  Tic... Tic... Tic...

  “Ben tu ne vois pas ? Toi qui vois tout ducon, là !!! (en montrant du doigt le bleu au-dessus de mon genou)”

  Tic... Tic... Tic...

  “Là, juste là crétin, t'es miro ou quoi ?

  Tic... Tic... Tic...

  Moi renchérissant : “Ben t'as l'air énervé aujourd'hui, bizarre, c'est l'hopital qui se moque de la charité !

  Sur ce, je me mis à chanter, signant là le coup de grâce quant à la colère de mon agresseur du moment qui me fit payer ce petit trait d'humour toute la nuit suivante. Chaque acte de protestation de ma part me vaut ce que j'appelle des nuits doubles en matière de maltraitance.

  J'assume, à partir du moment où je peux en sentir la portée, et saisir un tant soit peu de consternation chez celles et ceux qui cherchent à me briser. Je veux mourir en souriant.

12e lettre envoyée au procureur à ce jour.

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