Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Visiteurs
Depuis la création 102 410
                                                                            
Traducteur

Targpixel 2

logo torture à distance

Derniers commentaires
Archives
13 juin 2016

De la banalité ordurière

  Les harceleurs ne s'encombrent plus de cette frilosité de départ consistant à ne pas y aller trop fort au niveau des ondes, au cas où la souillon aurait une réaction inattendue. Les tirs d'ondes sont donc perpétrés de manière aussi régulière que féroce, mes persécuteurs ayant fini par se persuader que leurs agressions intégraient désormais le domaine du quelconque, et n'ayant pas de scrupule à exercer, ma foi, ce qui ne relève plus pour eux que de la banalité.

  Comme si mitrailler le crâne, et le corps tout entier d'une personne par ondes électromagnétiques était quelque chose de commun, et appartenait à tout à chacun. Comme si les sévices ne relevaient pas du pénal, comme si le temps passé à nuire amenait au bout d'un moment une sorte de prescription des faits criminels. Comme si ces faits ne se déroulaient plus dans le présent, mais lui appartenaient pour ne faire plus qu'un avec les tortionnaires. Comme si il suffisait de faire partie du commun des mortels pour être exempté de toute tentative d'assassinat. Comme si perpétrer un acte vil, n'octroyait plus à ce dernier, à force de le réitérer, un statut condamnable mais au contraire le plaçait du côté de l'anodin, de l'insignifiant.

  Sans doute, est-ce à ce moment précis dans l'histoire de l'homme, que des assassins pris dans l'exercice de leur fonction, ne comprennent pas ce qui leur arrive, ne pensaient pas à mal, ne faisaient qu'obéir aux ordres, et participaient comme tout le monde, non ! Vraiment ! Personne n'aurait pensé que c'était si grave...

  Et si ! Les harceleurs relâchent leur vigilance, et distribuent en ce moment les tirs d'ondes vers ma tête et mon cou, comme ils feraient une distribution de bonbons. La routine s'est invitée au festin de la malveillance, dispensée sans compter, au gré des couards. Les coups de perceuses et autres scies sauteuses, s'invitent à l'occasion, pour le pur plaisir de nuire, embrassant toute la fétidité d'esprits tortillés par un quotidien inepte.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité