Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Publicité
Harcèlement ÉlectroMagnétique et Collectif
Visiteurs
Depuis la création 102 416
                                                                            
Traducteur

Targpixel 2

logo torture à distance

Derniers commentaires
Archives
25 janvier 2016

Retour des ondes intensives

  Cette nuit, mes harceleurs ont fait la fête ! Je ne sais pas pourquoi, mais quand ils m'envoient des ondes particulièrement violentes toute la nuit durant, c'est-à-dire environ toutes les dix minutes, j'imagine une sorte de DJ sur sa table de mixage en de train tourner des boutons suivant son bon vouloir, parfois à fond, sans vraiment se soucier des conséquences que cela peut causer à ma pauvre tête.

  Cette nuit, le sang a donc battu contre mes tempes pendant longtemps. Pour décrire au mieux ce que mon corps et ma tête ont vécu, c'est un peu comme si vous arriviez au bout d'une course d'endurance. Vous transpirez, vos tempes palpitent, le cœur s'emballe à plus de pulsations minutes que vous ne pourrez jamais en compter. On met un certain temps à se remettre de ce genre de course, mais après l'effort généralement on se sent bien, pas à la suite d'ondes électromagnétiques propulsées sciemment vers le crâne et avec une telle intensité.

  Après une telle sauvagerie, on est comme survolté, sans vouloir faire de mauvais jeu de mot, et nos nerfs sont tendus à un point tel, qu'ils sont à un fil de lacher. Mais au-delà de l'acte, certes malveillant, c'est avant tout la haine que j'ai ressenti au travers de la violence de ces ondes, qui m'a tétanisée. Le matin quand mon réveil a sonné, j'étais bien sûr éveillée, surexcitée même, et je suis partie travailler avec ma tête de raton-laveur des mauvais jours, les longues cernes noires sous mes yeux étant les seuls témoins du bombardement silencieux et invisible de la nuit.

  Mes harceleurs ne seront jamais inquiétés de rien, comme si l'invisible n'était pas meurtrier, comme si la haine n'existait pas sous le seul prétexte qu'elle ne se voit pas, comme si l'acte criminel qui n'est pas observable à l'oeil nu était négligeable, voire nul et non avenu.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité